Végé-Terrisme, une question de conscience

Habiter votre corps, votre cœur et la Terre

Être végé-terrien n’est en aucun cas une mode, mais plutôt une valeur de vie, une ouverture de conscience pour repenser une évolution vertueuse et une cohabitation bienveillante et harmonieuse de l’humain avec toute forme de vie sur Terre.
Être végé-terrien c’est choisir d’être acteur de sa santé et de celle des autres, protecteur de la Nature et de la Terre. C’est s’extraire des cases étriquées à la mode du vegan, végétarien, flexitarien, végétalien dont on veut nous étiqueter.
Être végé-terrien c’est être écolo, pas bobo !

Un état d’esprit

Si être attentif à sa consommation d’eau, utiliser moins de polluants ou créer moins de déchets est important pour notre santé et celle de la planète, aller voir le contenu de notre assiette l’est encore plus.
Et peu importe vos motivations personnelles d’enlever les animaux de vos repas, qu’il s’agisse d’amour de la vie, de raisons de santé, d’engagement écologique ou d’opposition à la souffrance animale, je choisis juste ici de faire la lumière sur un mode d’alimentation naturelle, en lien avec la Terre et ses cycles d’énergie pour lequel je suis de plus en plus sollicitée dans mes accompagnements de professionnelle de la santé, végé-terrienne assumée.

 

Cessons les clichés limitants

Il est maintenant reconnu, n’en déplaisent aux formatés de la pub et bien trop de médecins, que les végé-terriens jouissent d’une meilleure santé et longévité que les omnivores. Remettre en question votre alimentation permet de faire le point ainsi sur votre état de santé physique, énergétique et émotionnel pour réaliser cette transition vers la Terre en douceur et avec succès.

1 français sur 20 est végé-terrien qu’il s’agisse de sportifs de haut niveau, de femme enceinte, d’enfants, de femmes ménopausées où de séniors qui ne font d’ailleurs pas leur âge.

Choisir une assiette idéale pour son corps et sa planète, cela s’apprend. Et cela vient nourrir un mouvement de libération qui ouvre des horizons d’amour, de conscience, de respect et de santé holistique.
Devenir végé-terrien peut s’avérer cependant compliqué pour certaines personnes. Et c’est tout à fait normal. Cela implique de modifier des habitudes alimentaires parfois fortement ancrées. En effet, souvent, un repas traditionnel se constitue d’un morceau d’animal, d’un féculent et/ou d’un légume, d’un yaourt au lait animal. Cela implique également de changer sa façon de faire les courses, de cuisiner, de s’organiser et de mieux connaitre les valeurs nutritionnelles d’un aliment.

Pour cela vous pouvez vous lancer seul dans l’aventure, entre livres et blogs de recettes, ou faire appel à un professionnel de la nutrition végétale qui va vous simplifier le processus par ses conseils, ses exemples de repas, son encadrement et vous trouver des solutions à vos petits obstacles du quotidien comme la peur d’être carencé en protéines ou vitamines.

 

Pourquoi j’ai cesser de manger des animaux

Personnellement, ce fut un électro-choc émotionnel et physique profonds pour l’hypersensible que je suis, le jour où mes parents m’ont fait manger à mon insu mon adorable Chadoune, magnifique lapin noir et blanc qui partageait mes journées depuis que le l’eu gagné à la kermesse de ma petite école.
Horrifiée d’avoir été nourri du corps de mon petit ami, je compris que la nourriture allait être un sujet essentiel et ô combien compliqué dans ma vie !
Je compris donc en grandissant qu’on cache aux enfants l’origine de leur nourriture pour laquelle ils devraient savoir leur provenance, leur vie et avoir le choix de les manger ou non.

J’ai cessé de me nourrir d’animaux, et surtout de lait, puis j’ai rechuté sous la pression sociale et mes premiers jobs, vertement critiquée et moquée à l’époque. J’ai arrêté à nouveau, puis recommencé mais en ne consommant comme les vrais carnivores que de la chair crue, mammifères et poissons, jusqu’au point de non-retour de nausées, d’extrême dégoût, de maladies et d’avalanche de larmes face à la barbarie cachée dans mes assiettes.
Une âme se cache derrière chaque regard.

Dans un monde où il semble banal de faire souffrir, de priver de liberté et de soumettre jusqu’à la mort d’autres êtres sans défense pour des satisfactions gustatives personnelles éphémères, peu de gens savent la négativité de la densité énergétique d’un animal mort, cette énergie ne viendra pas nourrir l’énergie vitale d’un autre corps (l’homme étant nécrophage et non carnivore comme il aime à le croire) mais plutôt y générer le pouvoir, la dépendance et la colère.

On n’abolit pas l’esclavage animal parce que ça pollue les rivières et l’air. On l’abolit parce que c’est abject d’exploiter des êtres sensibles. Les animaux font partie de la planète, ils sont des terriens comme nous et veulent vivre comme nous, avec nous. On n’a aucun droit sur eux. Aucun… Juste le devoir de montrer l’exemple pour apprendre à partager la Terre, car la Préhistoire c’est fini. L’éveil de l’humanité passe par là.
Il semble cependant plus que tabou au 21ème siècle de dénoncer la mort et la souffrance d’êtres sensibles sans passer pour une extrémiste et être vilipendée, et encore moins lorsqu’on est professionnellement spécialisé en nutrition.

Soit ! Je suis végé-terrienne ! J’ai choisi de faire de mon corps un temple et non un cimetière, mon âme s’en est ennoblie, mon cœur a gagné en pureté, je partage cet alignement émotionnel et cognitif et je parviens même à être inspirante…

On privilégie le plaisir et l’équilibre

La bonne composition d’une assiette végé-terrienne : légumineuses et/ou de céréales + légumes cuits + légumes crus. On consomme « local » et on se reconnecte aux saisons en invitant à sa table, pleins de bons légumes frais.

On délaisse les pâtes et le riz blanc pour le sarrasin, le quinoa, le millet, les riz brun, rouge, sauvage ou basmati… Côté légumineuses, on pioche dans la grande famille des lentilles, les pois chiches, les graines de lupin, les haricots (rouges, cocos, flageolets, etc.). On les déguste tels quels, en salade, en galettes ou en tartinades, mixés avec de l’huile d’olive, de la purée d’amande ou de sésame, des herbes fraîches, des épices, un filet de citron… On ne consomme que des œufs de poules qui gambadent librement chez des amis ou des fermes engagées pour le bien-être animal, et du miel d’amoureux des abeilles qui prennent soin d’elles lors des récoltes.

On découvre aussi les préparations végétales protéinées, seitan, edamame, tofu, boulettes ou steaks de soja, tempeh…pour avoir de jolis muscles et une jolie peau.

On se supplémente régulièrement en minéraux et vitamines, surtout en B12 indispensable pour l’équilibre nerveux, la synthèse des globules rouges, des protéines, des acides gras, d’autres vitamines, au niveau osseux, au niveau neuronal et même de l’ADN. 

Et vive les brocolo-parties entre amis !!
Le tout pour plus d’énergie, plus de conscience, plus de joie, plus d’amour de soi et des animaux, une meilleure assimilation donc meilleure digestion, meilleurs gras essentiels, meilleure énergie, moins de toxines, moins de poids, moins de souffrance et plus de nutriments antioxydants protecteurs pour une santé rayonnante à long terme. Et croyez-moi, être végé-terrien ça se voit à l’intérieur encore plus qu’à l’extérieur !

 

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